Chez ChristelleT, fille translesbienne.

Bienvenue dans cet espace généraliste.

Depuis 2011, présente irrégulièrement, je gagne ma vie. Et je mets de côté... Cette phrase incomplète a un double sens.

Ajout du 08/10/2022: depuis 2020, ma vie professionnelle a changé. Elle est validée...

Vu l'expérience que j'ai acquise des fora de 2008 à 2011, j'ai décidé de mettre en message d'accueil cette recommandation :

La parole est libre si c'est dans un sens respectueux ! Je distingue informations et opinions personnelles. Des parties indépendantes existent. Ainsi, pas d'opinion personnelle dans l'espace informatif.

Note du 08/10/2022 : Ne cliquer sur aucun lien pour les fora suivant : fabulous-gonzesse, mutantismutantis, transsexuell.es. Pour l'instant, je n'ai pas trop le temps de les supprimer (ça rame toujours quant aux suppressions).

Christelle

P.S. : ces jours, j'ai une pensée pour les employé/e/s de Camaieu que j'ai fréquenté de 2015 à 2022. Je remercie les vendeuses de m'avoir rendue féminine.

Cimetières (dispositions générales)

18-05-2011 à 18:17:13
Modification par l'article 26 de la loi du 17 mai 2011 de l'article L. 2223-4 du Code général des collectivités territoriales. L'opposition "présumée" à la crémation disparaît. Il faut que celle-ci soit "connue" ou "attestée". D'un côté, là aussi, comme dans le mariage posthume, on simplifie le droit. Mais, là, on le formaliste au contraire. Il faut être sûr. Or, comme pour le don d'organes, des personnes peuvent ne pas formaliser leur volonté. Alors, d'un autre côté, on simplifie la certitude de la volonté de "crémation des restes exhumés", mais de l'autre, on n'améliore pas la qualité du droit, à mon avis. Pourquoi ? Car, si les personnes - beaucoup ne pensent pas mourir de sitôt - ne se prononcent pas, alors l'exhumation sera faite d'office.

Personnellement, ce qu'il adviendra de mon corps m'importe assez peu, quoique j'ai bien un projet plus ou moins fou, mais sans relations... à y réfléchir. Sinon, je m'en fiche. Pour d'autres, et surtout pour les familles, ce n'est que rarement le cas. Donc, cette loi simplifie ce point, mais n'améliore pas forcément la qualité du droit ?

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024021430&dateTexte=&categorieLien=id
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024021430&dateTexte=&categorieLien=id

Lien vers l'article :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000019983185&cidTexte=LEGITEXT000006070633&dateTexte=20110518&fastPos=1&fastReqId=199788096&oldAction=rechCodeArticle
http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000019983185&cidTexte=LEGITEXT000006070633&dateTexte=20110518&fastPos=1&fastReqId=199788096&oldAction=rechCodeArticle

Christelle
"Portalis, "en corrigeant un abus, il faut encore voir les dangers de la correction même".
Solitaire, j'avance seule. Professionnel : étape validée. Personnel : marche très lente. Social : pas asociable, mais d'une certaine manière asociale, je ne vais à la recherche d'aucun contact néanmoins. Si ça fait tant mieux ; si ça ne se fait pas, tant mieux.